Démasqué, l’ex-patron de la D.G.S.I. accusé d'agression sexuelle

Démasqué, l’ex-patron de la D.G.S.I. accusé d'agression sexuelle. A peine croyable ! Au sein de la Direction Générale du Renseignement Intérieur, ce haut gradé ne fait pas honneur à ces prestigieux services. Il se voit accusé d’agression sexuelle sur une jeune femme dont il était chargé de la déradicalisation. Et bien plus encore !

Déradicalisation

Les faits se sont produits dans les Ardennes. Chargé de déradicaliser des jeunes mineures, l’ex-patron de la D.G.S.I. vient de se retrouver pour viol... devant la justice. Surprenant de la part d’un policier haut gradé, sensé être au dessus de tout soupçon. Car l’homme, âgé de cinquante neuf ans, dirigeait ces agents du renseignement ( que l’on dit secrets ) ceux là même qui protègent les Français dans la plus grande discrétion contre le terrorisme.

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Dans un bâtiment classé " secret défense "

Bien sûr, nul ne saurait jeter l’opprobre sur cette remarquable institution et ses personnels parce qu’un homme, un seul, s’est montré indélicat. Mais preuve nous est donnée, une fois de plus, que certains troupeaux de la République abritent des brebis galeuses. Car, c'est ici que le pire s'est déroulé dans un bâtiment classé secret défense à Charleville-Mézières. Des lieux formellement interdits à toutes personnes non habilitées.

Agression sexuelle

Pourtant, c'est ici qu'une jeune femme placée sous le contrôle de cet homme à subi une agression de viol en bonne et due forme. Cette dernière devait subir un programme de " déradicalisation " comme plus de sept mille personnes, chaque année, liées à l'État islamique.  Ces programmes ont pour but d’invertir auprès des individus vulnérables avant qu'ils adoptent le statut de terroristes. Mais, cette séquence s'est soldée pour cette jeune femme en cauchemar par une agression sexuelle. Un acte indigne de la part d'un homme rattaché à l’État français.

Garçonnière à la D.G.S.I.

Mis en examen au motif de viol requalifié  en agression sexuelle, il a comparu, mardi dernier, à Reims. Ainsi, il échappe à la Cour d’assises. Si son jugement sera rendu le 14 septembre prochain, la suite de l'enquête n'est guère plus glorieuse pour ce haut gradé. Détenteur d’images pédopornographiques et amateur de sites spécialisés, les investigations ont, aussi, conduit les enquêteurs à mettre au jour l’existence d’une... garçonnière à la D.G.S.I..!

Dans son bureau

Ainsi, de nombreuses jeunes femmes, refusant de porter plainte,  déclarent, maintenant, avoir eu des relations sexuelles avec le commandant dans son bureau à la D.G.S.I. Et, ses relations extra-conjugales se poursuivaient jusque dans son bureau à la préfecture des Ardennes. Or, ce petit manège durait, certainement, depuis 2016. Enfin, aujourd'hui, les sources au sein des forces de l’ordre se mettent à parler. Elles révèlent les visites de jeunes femmes dans les locaux de l’antiterrorisme. Décidément, l'ex-patron de la D.G.S.I. a besoin, lui aussi, de recevoir une belle leçon de moralité !

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