Le Navire France est à la dérive
Le Navire France est à la dérive. Combien de temps encore les Français vont -ils demeurer le cul dans la bassine les bras croisés sans réagir face à la situation dramatique qui nous précipite dans un abîme d’incertitudes pour l’avenir de notre Pays ?
Ne m’appelez plus jamais France
Que l’on soit de droite, de gauche, centristes, à l’exception des écologiques dont il est difficile de suivre leur logique et le bien fondé de certaines de leurs positions difficiles à admettre sur des sujets majeurs, il est inéluctable d’admettre que le navire France est en pleine dérive. Bien des secteurs d’activités sont tentés de reprendre le refrain de la célèbre chanson de Michel Sardou : « Ne m’appelez plus jamais France, la France elle m’a laissé tomber ! ». Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter au bar du commerce ou dans les lieux publics, les conversations des professionnels de chaque corporation professionnelle.
Seul un changement de logiciel radical peut encore donner un espoir de redressement.
Mais aussi les agriculteurs, le monde médical, les forces de l’ordre intérieure, les forces armées, la justice, les enseignants, les commerçants, les dirigeants de PME, les métiers de bouche, les salariés qui souffrent d’une réduction de leur pouvoir d’achat. Sans oublier l’incroyable augmentation de notre dette abyssale qui paralyse notre économie. La liste ne peut pas être exhaustive tant elle est diverse. Seul un changement de logiciel radical peut encore donner un espoir de redressement de notre nation. Seulement la providence ne peut fournir qu’un homme providentiel par siècle. Serions-nous donc, dans ce cas, condamné à l’immobilisme ?
Notre seule chance réside dans la recherche systématique des racines du mal ...
Nous sommes nombreux à rejeter cette idée. Baissez les bras n’est ni pour moi, ni pour les Français héritiers de la légendaire résistance de notre Pays. Notre seule chance réside dans la recherche systématique des racines du mal et de les combattre sans relâche sans compromis et avec grande fermeté. « Le bien doit revenir prioritaire par rapport au mal qui malheureusement prend inéluctablement le dessus depuis deux décennies ». L’autorité de l’Etat doit s’affirmer par un retour aux fondamentaux de la République. L’éducation des enfants doit revenir aux parents et non laisser à nos enseignements le soin de palier aux carences parentales.
Cette réforme sera longue
La fermeté des forces de l’ordre doit être la seule règle face à une délinquance qui se croit totalement impunie en se moquant de toutes les règles de notre droit pénal. Fermeté qui se doit d’être suivie d’une justice punitive sans failles. Cette réforme sera longue mais indispensable pour notre Pays. Notre Pays ne peut se contenter de mesurettes par trop laxistes.
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