Lyon : Le plan secret pour faire interdire les animaux de compagnie

Publié le vendredi 5 avril 2024Rédigé par Michel De Sézac
Lyon : Le plan secret pour faire interdire les animaux de compagnie
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Chiens et les chats gravement menacés à Lyon ! Interdire les animaux de compagnie en ville, Top Exclusif ! vous dévoile le plan secret qui se trame derrière une réalité aux solutions inacceptables !

 Les industriels surveillent ne souhaitant pas que l’on regarde le dossier de plus près.

Secrètement, à Lyon, des nouvelles mesures anti animaux de compagnie se préparent sous la houlette de Grégory Doucet et Bruno Bernard. Les deux élus viennent de présenter au Conseil municipal, une série de mesures présentées comme favorables à la condition animale. Le but recherché serait destiné à sensibiliser les détenteurs. Du côté des animaux d’élevage, pas de changement ! La consommation de viande, troisième source d’émission carbone des Français, devance même l’avion. Mais, les industriels surveillent, ne souhaitant pas que l'on regarde le dossier de plus près. Ben voyons !

Les Verts, aujourd’hui, doivent se battre contre des mouvements écolos plus réalistes.

Voici pourquoi Doucet s’est penché sur les repas des petits dès les premiers mois de son installation. La décision polémiste, aujourd’hui d’ampleur nationale, la viande a quasiment disparu des repas servis dans les cantines gérées par la ville de Lyon. Mais, aujourd’hui, les écolos souhaitent atteindre la seconde étape : nos animaux. Bien entendu le  sujet reste sensible. Le scandale ne semble pourtant pas en imposer aux Verts. Le célèbre parti, qui, aujourd’hui, doit se battre contre des mouvements écolos plus réalistes sur les propositions générales a secrètement décidé d’interdire, dans un premier temps, la possession de chats et de chiens aux habitants des zones urbaines ou péri-urbaines.

L'alimentation animale, à l’échelle industrielle figée dans le collimateur des écologistes.

Comme quoi, il existe toujours ce fossé incroyable entre eux et les amis des animaux. Ces derniers ne devront plus se tromper au moment des grandes échéances. Les chiens, accusés, eux aussi, de polluer nos villes au même titre que les vaches dans leurs près. Le phénomène de la fabrication de leur alimentation, à l’échelle industrielle, se voit aussi figée dans le collimateur des écologistes. Mais, oui, nos animaux se nourrissent de croquettes et de pâtées dont la base est constituée de viande… Certes, le bilan carbone de nos animaux domestiques réside dans leurs gamelles.

Ne pas mélanger les faits.

L’impact carbone élevé, un rapport scientifique montre que l’alimentation à base de pâtée pour un chien de dix kilos équivaudrait à 6.541 kilos d’émissions de CO2 chaque année. Quant aux chats, accusés d’anéantir la biodiversité, les voilà devenus, eux aussi des parias de la société. Quelques écologistes voudraient même classer cet animal au rang des animaux nuisibles, selon eux, constituant une vraie catastrophe pour la biodiversité, oublieux que d’autres formes d'indésirables gravitent autour des écoles pour vendre de la drogue aux enfants. Curieusement, et sans vouloir associer ou comparer les dossiers, ces mêmes écologistes restent muets face à ces réalités. Tthomas, l'un de nos fidèles lecteurs, précisant : " qu'il ne faut pas mélanger les faits. Il faut impéativement créer un Ministère de la conditon animale pour les règler..."

Retour en Union soviétique ?

En effet, le surdimentionnement de ce projet s’étend aussi aux chiens considérés nocifs pour le clima, et la déforestation. En cause, aussi les cultures. C’est ici qu’il faut revenir que ce scandaleux dossier lyonnais. Peu loquaces, les élus l'entrevoient par une interdiction, aujourd'hui classée « top secret ». Evidemment, son évocation avant les échéances municipales et métropolitaines de 2026 reste délicate dangereuse et… coincée, pour l’heure, dans quelques fonds de tiroirs. Mais en cas de réélections, avertissement est, d'ores et déjà, donné aux amis des animaux. A en croire ces projets, l’on serait enclins, au delà de certaines réalités, d'y voir le retour en Union soviétique… 

Attribuer des cartes de nourrisseurs officiels..

Ira-t-on jusqu’à éradiquer les chiens et les chats domestiques, mais d'une manière graduelle, pour ne pas effrayer les électeurs ? En premier lieu : les félins. Mais, le plan prévoir une série de soixante mesures au sujet de la présence des chiens, pigeons et chats des villes devant être stérilisés afin de ne pas constituer une source de pression sur le reste de la biodiversité. Ainsi, il faudrait, selon le projet, récupérer les chats et les stériliser, démarrer leur trappage. Le bon côté serait d'attribuer des cartes de nourrisseurs officiels, offrant des croquettes aux malheureux abandonnés des lieux publics. A condition, aussi, de leur procurer des ressources financières....

Mais, soyons réalistes !

Si cette mesure est louable, espérons que nos amis lyonnais, détenteurs d’animaux de compagnie ne tomberons pas dans le piège de l’idée fallacieuse selon laquelle chats et chiens sont des nuisibles. Mais n’allons pas trop vite en besogne. La réélection des écologistes en territoire lyonnais n’est pas encore gagnée. Loin s’en faut ! Ces derniers ont programmé leurs premières mesures coercitives dès l’automne 2026. La toute première imposera un certificat de capacité pour les animaux domestiques (C.C.A.D.). Mais, soyons réalistes ! Cette mesure va accroire les abandons, les euthanasies voulues par ces mesures  déloyables pour les animaux.

Les détenteurs devront s’enregistrer en mairie d’arrondissement et passer des tests d’aptitude.

Car ils veulent mettre en place une taxe pour la détention des chiens, en fonction de leur taille, avec une surtaxe pour les gros gabarits, le bouvier bernois sera surtaxés. Cette multiplicité de contraintes est destinée à faire répugner les Lyonnais d’abriter des animaux de compagnie. Les détenteurs devront s’enregistrer en mairie d’arrondissement et même… passer des tests d’aptitude. Si cette dernière mesure paraît raisonnable, elle doit, cependant être sérieusement être repensée. Il semblerait qu'un certificat d’engagement, faisant prendre connaissance des responsabilités morales et financières suffirait. Histoire d’éradiquer les abandons. Pas aussi sûr ! Ils risquent, au contraire, de les accentuer...

Aspect totalitaire

Ce qui n’empêcherait pat une brigade spéciale chargée de recenser les animaux et de vérifier le numéro d’enregistrement, auprès des détenteurs ouvrant sur des sanctions en cas de non respect de ces règles. En revanche, modifier la loi française au sujet de la détention d’un animal et revoir l’Arrêté du 11 août 2006 fixant la liste des espèces considérées comme “ domestiques ” en France c’est-à-dire les animaux  “ appartenant à des populations animales sélectionnées ". Un scénario, certes, ardu, difficile à mettre en place. Au-delà de l’aspect totalitaire de l'ensemble de ces mesures, l'éradication de nos animaux de compagnie présente, aussi et surtout, un non-sens économique; la vente des produits atteignant en France un montant de presque cinq milliards d’euros. 

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